Bonjour les étoiles. Je vous présente mon avis sur Campus at Sea de Lina Parker aux Editions Addictives et je vous souhaite un bon voyage a bord du Moving Paradise !
Titre : Campus at Sea
Auteur : Lina Parker
Genre : Romance
Editions : Editions Addictives
Ebook : 4,99€
Résumé :
Un semestre avec Milos sans le noyer ? Pari tenu !
Embarquer sur un luxueux paquebot le temps d’un semestre et voyager à travers le monde ? Pour beaucoup d’étudiants, ce serait le rêve. Et pour Billie, qui a désespérément besoin de fuir Chicago, c’est un rêve qui devient réalité !
Jusqu’à ce qu’elle rencontre Milos, l’occupant aussi sexy qu’arrogant de la chambre d’à côté, et qu’elle se rende compte que vivre en huis clos sur un navire n’est pas seulement une échappatoire… c’est aussi un cauchemar !
Entre cours agités, fêtes sur le pont et cohabitation enflammée, bienvenue à bord du Moving Paradise !
Mon avis :
Billie est étudiante. Mais pas n’importe quelle étudiante… Elle part pour un programme spécial : six mois en croisière études. Cette croisière lui permet une pause… Enfin, c’était sans compter sur Milos, son beau voisin de cabine, avec lequel les échanges sont plutôt houleux.
Billie s’accorde un répit dans un quotidien qu’on devine complexe. Quelques indices sont glissés çà et là. Milos est magnétique, un jeune homme type bad boy torturé. Il semble peu intéressé par le programme, mais en même temps, il semble également réellement tourmenté.
Les protagonistes principaux se cherchent. Billie a ces raisons pour repousser Milos. Mais ce dernier ne lâche rien. Il fait preuve de patience et de persévérance pour faire craquer la jeune femme. Il aime la provoquer. Cette dernière est loin d’être indifférente, elle est même clairement attirée par son voisin de chambre, mais une relation reste inconcevable.
Ils se fuient, se cherchent, se trouvent… Cependant, rien n’est simple entre eux. Le passé de Milos est un frein pour Billie, qui vient s’ajouter à ses propres limites. La situation est tendue entre-deux et risque d’exploser…
La plume de l’auteure est fluide et addictive. Cette romance est prenante, elle donne envie de voyager, de rêver, de faire de belles rencontres, de lier des amitiés extraordinaires. J’ai adoré le groupe d’étudiants, les relations uniques qu’ils tissent pendant ce semestre exceptionnel. Le moving paradise représente un cadre de rêve, très bien décrit par l’auteure, on s’y croirait !
Au-delà de la légèreté que pourrait représenter un groupe d’étudiants en croisière, cette romance aborde des thèmes plus profonds. Les protagonistes n’ont pas l’insouciance des jeunes de leur âge et pour cause, leur vécu laisse des traces.
Merci à Carole et aux éditions Addictives pour l’envoi de ce service presse.
Extrait :
Je prends appui contre le chambranle, pose maladroitement mon sac sur la clenche pour farfouiller à la recherche de mes clés, et… manque de m’écrouler au sol alors que la porte s’ouvre.
– Ha ! lancé-je, triomphale, en avançant à tâtons dans le noir avant de m’affaler sur mon lit comme un poids mort. Alors comme ça, tu es déjà rentrée ? Tu admets donc que le saut dans la piscine n’était peut-être pas l’idée du siècle ?
Pour toute réponse, le bruit de la douche qui se coupe.
Typique : ce sont toujours les premiers à lancer une idée qui sont les premiers à l’abandonner ! Jena a vraiment dû partir juste après moi pour être déjà en train de se prélasser dans la salle de bains.
– Si tu pouvais te dépêcher, tout le champagne que tu m’as fait boire est en train de remonter !
Toujours rien.
– Et de redescendre, aussi ! Ma vessie va exploser ! la pressé-je à nouveau.
Si on m’avait dit que j’allais parler vomi et pipi à ma coloc dès le premier soir, j’aurais peut-être opté pour une chambre solo…
– Eh bien peut-être que tu devrais aller te soulager dans la salle de bains de ta chambre, dans ce cas ?
Euh… Minute. C’était quoi cette voix carrément trop grave ?
Je rectifie : si on m’avait dit que j’allais parler vomi et pipi à… qui ?
J’ouvre les paupières, me redresse brusquement et… me retrouve nez à nez avec un inconnu.
Enfin… « nez à torse », plutôt, étant donné qu’il est debout face au lit sur lequel je suis toujours assise.
– C’est pas possible… sixième porte dans le couloir, le lit de gauche… Mais non, c’est ma chambre ! m’exclamé-je désespérément, dans un élan de panique obstinée.
Le sourcil relevé, l’air sceptique, le mec me fixe, l’air mi-amusé, mi… « elle se fout de ma gueule, là ? »
Et j’ai précisé qu’il était torse nu ?

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