L’avis de Charlotte sur Avec amour, signé : M de Marie Anjoy


Coucou les étoiles. Je vous présente mon avis sur Avec amour, signé : M de Marie Anjoy publié chez Studio 5 éditions.

Titre : Avec amour, signé : M

Auteur : Marie Anjoy

Genre : Romance

Editions : Studio 5 éditions

Ebook :  4,99€

Résumé :

Marie est une Miss catastrophe ambulante. Insouciante et pleine de vie, elle mène un quotidien des plus tranquilles. Mais lorsqu’elle hérite d’une maison en Corse, elle n’imagine pas les conséquences qu’aura ce bien sur son destin. De la découverte d’anciens carnets intimes à un voisinage très particulier, ses attentes prennent une tournure inattendue. Le lieu transpire de secrets de famille et de rancœur. Curieuse de trouver des réponses, elle se retrouve embarquée dans un jeu de piste intrigant, voire inquiétant. Ce sera sans compter sur le comportement de son voisin, Alessandro, un presque célibataire peu avenant, mais terriblement sexy. Malgré quelques hésitations, Marie trouvera en lui et ses enfants une bouffée d’oxygène. Il lui sera néanmoins de plus en plus difficile de jongler entre le séduisant architecte et la quête de vérité qu’elle doit mener. Le bel Alessandro ouvrira-t-il la porte de son cœur à celle qui sème la pagaille dans sa vie ? Et surtout, qui est ce mystérieux « M », qui semble en vouloir à la belle héritière ?

Mon avis :

La vie de Marie bascule à l’annonce d’un héritage : une maison en Corse. Un rêve pour certains, pour elle cela rime plus avec galère. La maison est une ruine, elle trouve des carnets secrets et le voisinage est un peu particulier… Elle se retrouve confrontée à de vielles rancœurs et doit suivre un jeu de piste pour découvrir la raison de cet héritage. Pourra-t-elle compter sur Alessandro, père presque célibataire et un voisin sexy, mais pas très accueillant ?

Marie est une miss catastrophe, elle n’en rate pas une, bien malgré elle. Elle se retrouve fragilisée par une succession d’événements, mais reste marrante, forte et combative.

Alessandro est un père protecteur, un homme dévoué et aussi un amoureux de son Île, la Corse. L’arrivée de l’étrangère vient raviver de vieilles histoires de famille et il se serait bien passé d’y être mêlé, mais sa belle voisine se retrouve très régulièrement sur sa route…

J’ai beaucoup aimé ces deux protagonistes, qui sont, l’un comme l’autre, extrêmement touchants. J’ai aussi adoré la fille d’Alessandro, qui est adorable. J’ai adoré suivre l’aventure vécu par Marie, à travers laquelle des thèmes poignants sont abordés (je te laisserais découvrir lesquels !) toujours avec une touche d’humour et beaucoup d’émotions. J’ai aimé ce voyage qui m’a donné très envie de retourner en Corse.

J’aime toujours autant la plume de Marie Anjoy, qui devient une auteure incontournable pour moi. Cette romance est très addictive, je l’ai dévorée pour en découvrir les mystères ! Je vous la recommande vivement ! Merci Marie Anjoy pour l’envoi de ce service presse.

Extrait :

À peine ai-je toqué à la porte que celle-ci s’ouvre à la volée et je m’engouffre tête la première dans la pièce, en manque total d’équilibre. Sans la vivacité d’esprit de l’homme face à moi, je me serais retrouvée au sol en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. À la place, je me heurte à un mur en béton… Ou plutôt, un torse en acier. Les mains en avant dans un réflexe de protection, je ne peux que le constater une fois mes doigts sur ses pectoraux bien dessinés que moule un t-shirt ajusté. Mais pas le temps d’apprécier que son propriétaire me repousse, attrape un trousseau de clefs sur la console de l’entrée et claque la porte après un « faites comme chez vous, je ne sais pas à quelle heure je rentre ». Abasourdie, je ne réagis qu’une fois le battant refermé derrière lui.

— Faire comme chez moi ? Mais c’est quoi, ce délire ? énoncé-je à voix haute.

Je viens d’arriver sur l’île de beauté pour découvrir cette fameuse maison… Ayant besoin de recharger mon téléphone, j’ai sonné chez le voisin. Ce con vient de détaler comme un lapin en me disant de prendre mes aises chez lui… Moi, une inconnue. Les Corses sont vraiment des cas !

— Bah, tu vas où comme ça ?

La main déjà sur la poignée, je fais volte-face en sursautant et découvre, à quelques pas de moi, une gamine d’une dizaine d’années et un gosse, pas plus haut que trois pommes, affublé d’un panama qui lui cache le visage.

— Eh bien, chez moi.

Si l’on peut appeler « chez moi » cette bâtisse délabrée reçue en héritage. Un héritage des plus déconcertants, une des raisons pour laquelle j’ai momentanément abandonné Paris et mon minuscule, mais néanmoins confortable appartement.

— Bah non, t’es là pour nous garder.

— Vous garder ?! m’exclamé-je, abasourdie.

— Ben oui, à la place de Justine, notre nounou.

— Euh, je crois qu’il y a… comme un malentendu. Appelle ton père, ordonné-je en jetant un œil à ma montre.

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